INSTITUT DE LA BIENHEUREUSE VIERGE MARIE
GÉNÉRALAT DE LORETO

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Notre océan, Notre avenir, Notre responsabilité

Cette pratique néfaste pourrait menacer les moyens de subsistance des communautés côtières et entraver l’avenir des découvertes scientifiques marines. Plus inquiétant encore, l’exploitation minière des fonds marins menace de perturber le cycle mondial du carbone, accélérant ainsi le changement climatique au pire moment possible de l’histoire. ... Nous appelons les parties à approuver une interdiction mondiale de l'exploitation minière des fonds marins.

Kathryn Keigher ibvm, représentante de la province des Nations Unies pour le Royaume-Uni, a assisté cette année à la conférence sur les océans qui s'est tenue du 27 juin au #8211 ; 1er juillet 2022 à Lisbonne, Portugal en tant que délégué ONG. La conférence de cette année a été organisée par le Portugal et le Kenya. Kathryn a rejoint un large contingent d'ONG confessionnelles militant pour l'interdiction de l'exploitation minière des fonds marins et la protection des petites nations insulaires.

Elle a assisté à la cérémonie d'ouverture et aux réunions chaque jour de 22h à 15h. Kathryn a rencontré un certain nombre de personnes qui semblent avoir un lien avec l'IBVM (Loreto Sisters). Mais ce sont les réunions et les événements organisés par les ONG confessionnelles qui ont eu un impact sur elle. Le panel était composé d'Autochtones et de personnes travaillant avec les personnes les plus touchées par le changement climatique.

Catherine écrit : La réunion contrastait fortement avec les autres réunions au cours desquelles les décideurs politiques faisaient des déclarations et des promesses. Ces gens ont parlé avec leur cœur en décrivant l’océan comme leur sang. Chacun a raconté sa propre histoire sur la tragédie de la pollution des océans et ses répercussions. Chaque histoire était différente mais ce qu'elles avaient en commun c'était l'émotion, et même les larmes, qui coulaient au fur et à mesure que chacun parlait. Ils étaient particulièrement protecteurs envers leurs propres petites îles. On nous a rappelé que l’exploitation minière en haute mer détruit les moyens de subsistance de nombreuses personnes vulnérables.

Il y avait une prière au début. C’était la première fois qu’il y avait une quelconque contribution spirituelle. Lorsque l'archevêque a pris la parole, il était lui aussi très ému, mais il a parlé avec fermeté de la nécessité d'un langage de la spiritualité ainsi que d'un langage de la science. L’exploitation minière en haute mer détruit notre Terre. L'archevêque a mis l'accent sur le langage spirituel et le langage des nations autochtones.

Parmi les autres questions clés qui ont été soulignées tout au long de la semaine, citons : la pollution des océans, l'utilisation persistante de combustibles fossiles et l'utilisation abusive du plastique. Les solutions proposées comprenaient la « culture océanique », la nécessité d'une plus grande sensibilisation dans les écoles au problème de la protection des océans. Mieux rechercher et corriger les informations et les données afin que les scientifiques et autres puissent identifier les problèmes et en particulier les activités illégales. Plus important encore, un appel a été lancé à la société civile (ONG) pour qu'elle réponde avec une détermination ferme.

Lisez sa réflexion complète ICI.

Pour plus d’informations sur la Conférence Océan 2022, cliquez sur ICI.

Auteur: Kathryn Keigher

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